• Et bien je ne trouve pas d'image de ce livre sur le net (et je n'ai pas le temps de sortir mon appareil photo, la prendre en photo, charger la photo...) tant pis pour vous!

     

    J'ai pris ce livre à la bibliothèque parce que j'avais envie de lire un roman policier et que le titre m'a attirée. Une fois le résumé lu, j'étais convaincue, et je l'ai emprunté!

     

    Résumé du livre:

    Frolot, flic plus républicain que jamais se retrouve avec un beau cadavre sur les bras alors qu'il vient de débarquer au commissariat de Montigny en Gohelle, dans le Pas de Calais. Dans le coin tout le monde a aimé le mort, sauf son assassin peut-être ? Comme toujours Yves Pinguilly complète l'intrigue par une série de portraits de gens ordinaires. Tout ce beau monde nous est montré dans le contexte politique de la France du début du XXIème siècle, avec aussi un petit retour en arrière. Mais chut... Laissons à Frolot le temps d'alpaguer le coupable.

     

    Avis après lecture : 

    Et bien ma foi, j'ai passé un excellent moment. Ce roman se lit en un rien de temps, il n'y a pas vraiment de suspense, mais c'est très agréable à lire, pas prise de tête...Je recommande pour une lecture détente!


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    A nouveau, j'ai pris un livre pour répondre à un critère du défi lecture de la bibliothèque : un livre écrit par un duo d'auteurs.

     

    Résumé du livre : 

    Pourquoi personne ne comprend les Français ?

    C'est pour répondre à cette épineuse question que deux journalistes canadien et québécois, Julie Barlow et Jean-Benoît Nadeau, ont passé plus de deux ans en France avec un seul objectif : observer et comprendre. De leur séjour dans cet étrange pays est né ce livre, drôle et sérieux à la fois.

    Bousculant la plupart des idées reçues sur la France, les auteurs ont passé au crible les structures et les réflexes culturels des Français, allant de leur supposée arrogance jusqu'à leur culte de l'État et des grands hommes, leur obsession de la laïcité, ou encore leur penchant immodéré pour les manifestations. Ils se sont immergés dans la " province " (concept bien français), ont poursuivi les fans de José Bové, pénétré les arcanes de l'énarchie, étudié la façon dont les Français inventent l'exception culturelle, prétendent résister à la mondialisation, tournent leurs phrases, corrigent leurs interlocuteurs, trichent et acceptent que leurs dirigeants politiques en fassent autant.

    Un livre salutaire et très rafraîchissant, qui présente les Français sous un jour pas si défavorable, et pourrait bien servir à nous éclairer sur nous-mêmes.

     

    Avis après lecture : 

    Je ne m'attendais pas à cela! Je m'attendais à un roman satirique, humoristique ou quelque chose comme ça. Mais là, on est vraiment dans l'étude ethnologique! C'est un peu lourd à lire, un peu indigeste. Mais malgré tout, je ne regrette pas de l'avoir lu parce que j'y ai appris pleins de choses! Je nous (les français) regarde différemment maintenant! J'ai également un autre regard sur les pays de l'Amérique du Nord.


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  • Le Collier rouge par Rufin

     

    Un des critères du défi lecture proposé par la bibliothèque est le suivant : un livre dont le héro est un animal.

    N'ayant aucune idée du livre que je pourrais choisir pour répondre à ce critère, j'ai demandé à la bibliothécaire de m'en trouver un et voici le livre qu'elle m'a proposé!

     

    Résumé du livre : 

    Dans une petite ville du Berry, écrasée par la chaleur de l'été, en 1919, un héros de la guerre est retenu prisonnier au fond d'une caserne déserte.
    Devant la porte, son chien tout cabossé aboie jour et nuit.
    Non loin de là, dans la campagne, une jeune femme usée par le travail de la terre, trop instruite cependant pour être une simple paysanne, attend et espère.
    Le juge qui arrive pour démêler cette affaire est un aristocrate dont la guerre a fait vaciller les principes.

    Trois personnages et, au milieu d'eux, un chien, qui détient la clef du drame ...

    Plein de poésie et de vie, ce court récit, d'une fulgurante simplicité, est aussi un grand roman sur la fidélité.
    Être loyal à ses amis, se battre pour ceux qu'on aime, est une qualité que nous partageons avec les bêtes. Le propre de l'être humain n'est-il pas d'aller au-delà et de pouvoir aussi reconnaître le frère en celui qui vous combat ?

     

    Avis après lecture : 

    J'ai bien aimé! Un livre qui se lit en un rien de temps, dont l'histoire est original et je dois bien avouer que je me suis demandée jusqu'au bout quel était le secret caché, quel serait la fin de l'histoire!


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  • Il y a de plus en plus de monde qui lit ma nouvelle primée. A chaque fois j'ai droit à des félicitations. Hier j'ai même eu droit à une réaction spontanée juste après la lecture qui m'a fait très chaud au coeur. J'ai entendu à travers les mots prononcés de l'incrédulité, de la fierté, de la surprise (moi, la matheuse, je sais donc écrire?), du plaisir d'avoir lu, d'avoir passé un bon moment en compagnie de mes mots.Une autre personne m'a demandé l'autorisation de faire une lecture publique de ma nouvelle.

    Je ne réalise pas!

    J'écris pratiquement comme je parle, ce n'est pas un style littéraire sophistiqué, haut de gamme, ou même reconnu! Je me souviens toujours de mes profs de français qui précisaient bien qu'il ne fallait pas écrire dans un langage parlé...

    Et pourtant, là, ça plait! Je n'en reviens pas! On me demande de continuer. Je m'en sens incapable.

    Incapable d'écrire, incapable d'aller au bout d'un livre, incapable d'inventer une histoire...et pourtant cette petite nouvelle de rien du tout plait. 

    Je suis sur un nuage! Je ne sais que penser de ces réactions, de ces demandes de nouveaux écrits, de cette fierté que je lis dans les yeux de mes proches!

     

    J'ai bien une idée derrière la tête de récit...qui sait? Peut-être qu'un jour ce récit deviendra roman publié!


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  • L'enfant grec par Alexakis

     

    Je vous disais que la bibliothécaire m'avait trouvé deux livres grecs...voici le second!

     

    Résumé du livre : 

    Le sujet de ce roman est le roman lui-même. Il se déroule en majeure partie dans le jardin du Luxembourg à Paris, lieu éminemment romanesque qui se souvient des trois mousquetaires et du cardinal de Richelieu, de Lucien de Rubempré récitant ses poésies entre deux tilleuls, de Jean Valjean et de Cosette. Il se souvient en lait de tous les héros de la littérature, de Don Quichotte à Tarzan, puisqu'ils habitent tous, sous forme de-poupées, le théâtre de marionnettes qu'il abrite. C'est dire que le narrateur, un homme provisoirement handicapé, obligé de marcher avec des béquilles et dont l'existence se limite à de petites promenades, n'a pas le temps de s'ennuyer : en dehors îles héros de son enfance qu'il retrouve dans le jardin, il fait la connaissance de personnages qui, eux, ont l'air bien réels, comme Marie-Paule qui garde les toilettes, les deux soeurs qui dirigent le théâtre de marionnettes, Ricardo, un SDF d'origine italienne, M. Jean, un ancien bibliothécaire du Sénat, Charles, un critique littéraire à la retraite, Constantin, un jeune poète grec. Mais la frontière entre la réalité et la fiction s'estompe peu à peu, au point que l'auteur en vient à s'interroger sur sa propre identité : a-t-il vraiment besoin de ses béquilles ? les cris de protestation des jeunes Athéniens réunis place de la Constitution contre les mesures d'austérité imposées à leur pays lui rappellent néanmoins que son histoire, vraie ou fausse, a commencé en Grèce.

    C’est l’histoire d’un va-et-vient incessant entre deux jardins, celui de l’enfance, situé dans le quartier de Callithéa à Athènes, et le jardin du Luxembourg, où le narrateur erre péniblement, soutenu par ses béquilles. Il vient de subir une grosse opération, mais qui n’intéresse plus personne, sauf la dame qui tient les toilettes du jardin, un clochard nommé Ricardo, la directrice du théâtre de marionnettes et un vieil homme à cheveux blancs qui ressemble à Jean Valjean. La solitude fait peu à peu surgir autour de lui tous les héros de son enfance, ceux qui ont réellement fréquenté le Luxembourg, comme Jean Valjean et les trois mousquetaires, mais aussi Tarzan qui ne comprend pas pourquoi on construit des maisons autour des jardins alors qu’il y a tant de places dans les arbres, des orphelins, des pirates, des Indiens et Richelieu qui surveille tout ce petit monde à travers les fenêtres du Sénat. Il y a aussi la mort, représentée par une marionnette géante vêtue de blanc qui a des pattes de poulet à la place des mains, et une belle Italienne coulée dans du bronze.
    Le bruit du monde parvient assourdi jusqu’au jardin : on entend les cris des jeunes gens qui manifestent place de la Constitution à Athènes, on apprend que Zorba a dansé dans le Bundestag devant les députés allemands. Comme les romanciers aiment bien envoyer leurs personnages sous terre, dans les égouts ou dans les terriers, l’histoire finira dans les catacombes. Jean Valjean aura la bonté de porter le narrateur sur son dos. Comme on le devine, le personnage central du roman est la littérature.

     

    Avis après lecture : 

    Autant être honnête avec vous, je n'ai pas aimé ce livre! On suit les divagations d'un écrivain sans savoir où on va. Je n'ai trouvé ni queue ni tête à ce roman et j'étais bien contente de l'avoir fini!


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